De superbes photographies vintage capturent la vie des cafés à Paris dans les années 1940.H
Son cœur était chaleureux et joyeux
J’ai entendu le rire de son cœur
Dans chaque café de rue.
Les paroles du tube de 1940 d’Oscar Hammerstein, composé par Jerome Kern, résonnent toujours d’actualité. Les cafés parisiens sont au cœur de ce qui rend la ville si spéciale et chère au cœur de millions de personnes, ce qui fait que les gens regrettent Paris lorsqu’ils n’y sont pas et qui leur donne envie d’y rester plus longtemps lorsqu’ils y sont.
Ce n’est pas un café ou quelques cafés. Comme le dit la chanson, c’est tous les cafés de rue. Il y en a partout. Ils semblent s’unir pour créer une atmosphère unique. Entrer dans un café à Paris, s’asseoir et s’immerger dans un art de vivre. Il y a un sentiment de convivialité et de plaisir tranquille qui naît du fait de se promener dans une ville merveilleuse, de partager un environnement avec des personnes partageant les mêmes idées – de faire partie de la vie parisienne. Si vous êtes déjà allé à Paris ou si vous y vivez, vous avez certainement vécu cela. Si ce n’est pas encore le cas, c’est assurément quelque chose à découvrir avec impatience.