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Uniformes et regards : Soldats français à travers les décennies (Partie 152).H

C M3-4 minutes


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Un combattant français en 1916 quelque part sur la ligne de front. Pour lutter contre le froid et en l’absence d’équipements d’hiver réglementaires, le “poilu” doit s’adapter.

Nous sommes les lendemains de l’offensive infructueuse du 14 octobre 1916 en Macédoine. À Petorak, les bombardements bulgares ont provoqué de gros dégâts et les troupes françaises installent un poste de téléphone.

Source: ECPAD

Le Maquis “Fort de France” est photographié en 1944. Ces hommes sont armés suite à un parachutage en mars. Leur mission est de ralentir les déplacements allemands sur la « route Napoléon ». Au début du mois de juin 1944, ils s’attèlent à cette tâche, harcelant chaque convoi allemand qui emprunte ce trajet reliant la Côte-d’Azur et la vallée de la Durance.

Source: Thérèse Dumont et Laetitia Vion

Une photo rare prise le 5 juin 1940 quelque part en France juste après un accrochage. Deux soldats français exténués sont à terre. Ils sont visiblement blessés. Un infirmier allemand donne les premiers soins.

Gustave Lecomte a 39 ans et occupe un emploi de valet de chambre à Paris dans le 16e arrondissement lorsque la Grande guerre éclate. Il est mobilisé le 1er août 1914 et rejoint le 70e Régiment d’Infanterie. Il survivra.

Exceptionnelle photo de chasseurs alpins français en 1916. Au dos de la photo est écrit au crayon: “Les jours me semblent des années. Hélas quand donc cette maudite guerre finira-t-elle ?”

Deux hommes portent aussi des couteaux.

Deux soldats britanniques se tiennent à côté d’un Jagdpanther allemand détruit en Belgique en 1944. Le Jagdpanther était un chasseur de chars construit sur le châssis du char Panther et armé d’un puissant canon Pak 43 de 88 mm.

Source: National Army Museum

Soldats français photographiés dans les tranchées autour de Vauquois, Meuse, le 17 décembre 1917.

Source: Spektonz Colorizations

En 1920, le jeune Auguste Thin est désigné par André Maginot pour choisir le corps du soldat inconnu qui sera enterré sous l’Arc de triomphe. Il y a huit cercueils. Auguste est déstabilisé. Il racontera plus tard: « Il me vint une pensée simple. J’appartenais au 6e corps. En additionnant les chiffres de mon régiment, le 132, c’est également le chiffre 6 que j’obtenais. Ma décision était prise : ce serait le 6e cercueil »

“Neuville-Saint-Vaast (Pas-de-Calais), La Targette, 9e batterie, juillet-octobre 1915, lieutenant Louis Cyrille Dommanget, capitaine Charles Berntzwiller”

Source: Album de René Verney

Sur le front de Champagne en 1916 avec un compagnon à quatre pattes. Ces hommes appartiennent au 90e régiment d’infanterie.

Un chien adopté sur le front italien par des artilleurs français en 1918.

“Beugin (Pas-de-Calais), 21-27 juin 1915, Pelfrêne”

Source: Album de René Verney

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